Le préjudice sexuel est formé de trois composantes : le trouble lié à l’acte sexuel (gêne positionnelle ou perte de libido), l’infertilité (dont les conséquences peuvent être compensées par une tentative de recours à la procréation médicalement assisté ou par une adoption) et le préjudice morphologique lié à l’atteinte aux organes sexuels.